Transformez votre bassin en un espace aquatique sain et dynamique avec cette collection de plantes de bassin indigènes. Cet assortiment comprend six variétés indigènes.
Ces plantes de bassin sont connues pour leur capacité à fournir un habitat naturel aux animaux, dont les abeilles et les papillons. Les pollinisateurs sont attirés par les fleurs colorées des végétaux. Attrayants, les plants de la collection permettent d’aménager un bord de bassin chaleureux et convivial. Ils attirent la faune locale au jardin.
Caractéristiques des plantes de bassin indigènesLes plantes de bassin indigènes résistent aux conditions locales. Elles peuvent survivre sans l'utilisation de produits chimiques. Les six variétés de l’assortiment ont été choisies pour leur capacité à s'adapter aux besoins du bassin. Elles créent un environnement naturel et durable.
La collection comprend le Butome en ombelle (Butomus umballatus). Il s’agit d’une plante indigène des zones humides. Cette variété a une apparence exotique. Elle est ornée de fleurs en forme d'ombelle rose pâle. La floraison se déroule en été. La Caltha des marais (Caltha palustris) produit des fleurs jaunes vives. Celles-ci apparaissent à la fin du printemps. Cette espèce aime les zones humides et les bords de ruisseaux. L’Iris jaune (Iris pseudacorus) est ornée de longues feuilles étroites et de fleurs jaunes vives. Elle est idéale pour les bassins peu profonds. La Salicaire commune (Lythrum salicaria) s’épanouit en milieux humides. Offrant de belles fleurs roses en été, elle est facile à cultiver. Le Roseau panaché (Phragmites australis) est caractérisé par un long feuillage étroit et des tiges panachées de coloris blanc et vert. Il rend le bord de bassin plus haut et plus structuré.
Conseils de plantation et entretienPour optimiser le résultat, les experts Bakker vous conseillent de planter 7 à 10 plantes par m2. Nous vous recommandons de placer les plants à une profondeur maximale de 10 cm. Placez les plantes de berge dans du substrat pour bassin. Les spécialistes Bakker vous recommandent de choisir une situation ensoleillée ou au mi ombre. Assurez-vous que le bassin soit bien éclairé pendant au moins six heures par jour. Cette condition garantira le développement des plantes. Protégez celles-ci des vents forts pour préserver les feuilles et tiges.
Faciles à entretenir, les plantes de bassin ne requièrent pas un travail de longue haleine. Maintenez le bassin propre en enlevant les feuilles mortes et les débris. Ceux-ci peuvent boucher la circulation de l'eau.
Selon notre expertise, il faut apporter des éléments nutritifs deux fois par an. Ces apports fournissent les meilleurs nutriments aux plantes et préservent leur santé de fer. Ils sont disponibles sous forme de liquide ou de granulés. Les horticulteurs Bakker préconisent d’éliminer les feuilles fanées en automne.
Les plantes de bassin sont sensibles aux maladies et ravageurs. Elles sont couramment sujettes aux insectes tels que les pucerons et les chenilles. Ces nuisibles peuvent endommager les feuilles et tiges des plantes.
Rustiques, ces variétés peuvent s’épanouir dans des conditions météorologiques extrêmes comme la sècheresse et les fortes pluies. Les plantes sont idéales pour les zones côtières.
Avantages et utilisationsJoignant l’utile à l’agréable, les plantes de bassin indigènes sont écologiques et durables. Elles contribuent à la préservation des écosystèmes locaux. Ces variétés réduisent l'impact environnemental de votre espace d’extérieur dans la nature. Elles maintiennent la qualité de l'eau de votre bassin. Vertueuses, les plantes de berge filtrent efficacement l'eau et réduisent les excédents de nutriments. Ceux-ci peuvent engendrer une prolifération de mauvaises herbes et d'algues. Ils peuvent devenir problématiques pour les végétaux et animaux du réservoir.
Ces variétés maintiennent la température et la fraîcheur de l’eau. Elles fournissent de l'ombre et réduisent l'exposition de l'eau au soleil. Cette qualité est particulièrement importante pendant l'été. La température de l'eau peut, en effet, augmenter à des niveaux plus élevés en temps estival. Cette acclimatation risque d’être nocive pour les poissons et les autres animaux aquatiques.
